Gribouille Entete
L’histoire de Gribouilli street

L’histoire de Gribouilli street

Hello !
Bienvenue à toi dans ce billet un peu particulier…
Oui car ça n’est pas évident de raconter l’histoire de Gribouilli Street… Il fête ces 10 ans cette année.
Wahh 10 ans, ça me fait tout bizarre…

Le terreau qui a permis à Gribouilli Street d’exister

La naissance de Gribouilli Street, la génèse, le commencement de l’Histoire !!!!
Bon là j’avoue j’en fais un peu des tonnes.

En fait, Gribouilli Street est arrivé sans vraiment y réfléchir.
Quelques années plus tôt, alors que j’étais encore salariée, je me suis remise au dessin.
Pendant des années je n’avais rien dessiné à la main.
Et puis j’ai senti que j’avais besoin de remettre de la créativité et de la couleur dans ma vie.

Je suis tombé, un peu par hasard, sur un livre qui traiter de Zentangle. (j’essaye de te préparer un article sur le sujet 😉)
Son titre « Gribouiller c’est méditer »

« Gribouiller c’est méditer »

J’ai donc commencé à faire du zentangle.
Si tu ne connais pas, c’est vraiment très sympa et pas besoin de savoir dessiner. Ce sont des motifs, plus ou moins complexe.
Ce que j’ai adoré c’est de « plonger » dans le trait, dans le grain du papier.

Très vite, j’ai associé le coloriage et le zentangle.
Très vite je me suis sentie à l’étroit dans ce qui m’était proposé…

Alors j’ai commencé à créer mes propres dessins… les premières demoiselles. (Surement un article pour elle aussi ;_-)

Et puis en 2013, je me suis mise à mon compte dans la création de sites internet…
C’est quelque temps après que ces dessins et coloriages ont été le terreau de Gribouilli Street.

La naissance

Une activité de webdesign et le besoin de tester de nouveaux outils comme WordPress d’un côté, un sujet de cœur créatif de l’autre et BAM… un blog wordpress.

Des articles qui parlent de zentangle, de coloriage et petit à petit de demoiselles…

Mais pourquoi ce nom « Gribouilli Street » ?

Je crée des identités pour mes clients, des logos, des stratégies de com… On se pose toujours la question de « qu’est-ce que signifie le nom », quel est son histoire ?
Et bien pour Gribouilli Street il n’y a pas vraiment d’explication !

Ce nom c’était une évidence.
Deux mots accolés ensemble qui à mes yeux voulaient tout dire.

Gribouilli pour le côté léger et sans contraintes. Je n’étais pas là pour jouer les artistes, mais pour m’amuser, méditer, colorer le monde.

Street, parce que j’aime bien combiner les mots anglais et français… Ca sonne bien et ça ouvre le champs des possible.
Et puis une rue c’est plein de vie, de maisons, de personnes différentes… ça me donne un cadre sécurisant tout en me laissant la liberté d’imagination.

En 10 années d’existence, ce nom a toujours été une évidence : naturel, simple, fun et tellement libre !

Alors oui ça ne fait pas très « PRO » …
Oui le mélange anglais/français ça peut faire bizarre…
Oui ça n’a plus rien à voir avec les demoiselles et les doodles… mais il me colle à la peau et ça, ça n’a pas de prix !

Et donc c’est en 2014 que le blog Gribouillistreet.fr voit le jour.

Les demoiselles : chaque mois

Maintenant que j’ai créé un blog… il me faut l’alimenter régulièrement… tous les mois par exemple.
Alors pourquoi pas une illustration pour représenter le mois.
Mais comment ?

Et bien : un peu de ce que j’aime, une touche de défi et au final un vrai travail de développement personnel !

J’avais créé quelques mois auparavant des « demoiselles zentangle ».
Lasse de remplir des carrés avec des motifs je m’étais essayé à créer un personnage avec des motifs.

demoiselles zentangle

C’est ainsi que chaque mois, j’ai commencé à créer une illustration de « demoiselle » représentant le mois en cours.
Au début c’était vraiment le mois en cours car j’avais besoin de le ressentir.

Quelques étapes :

  • Recherches sur Pinterest
  • Je m’imprègne des grandes généralités du mois (en juillet c’est les vacances et il fait chaud, en octobre c’est l’automne…)
  • Je pars de la page blanche et je « visualise » la demoiselle
  • Je dessine, je teste, je reviens, j’ajoute des éléments…

 

Au fil des années, je me suis posé des cadres (pour faire des « collections » par années), ma technique a beaucoup évolué aussi…

Au début je mettais en couleur aux feutres et je scannais le résultat.
Puis je vectorisais les traits et les mettais en couleur sur l’ordi

Je vois la différence que qualité à chaque fois que je les regarde… mais quelle que soit la technique, au fond c’est la personnalité de mademoiselle qui me touche.

Demoiselles 2016 - 2017
Demoiselles 2018 - 2020
Demoiselles 2021 - 2022

Les doodles

Pourquoi et comment sont-ils arrivés ?
Les doodles sont très différents des demoiselles, dans leurs styles et dans leur conception. Alors pourquoi ?
Dessiner les demoiselles m’a toujours demandé un vrai temps de création, plusieurs heures à chaque fois…

Mais parfois j’avais envie d’un petit dessin plus rapide et plus léger.

Les premiers doodles étaient simplement des tasses ou des objets avec des yeux.
Un côté « Kawaii » que j’adore. Vite fais, mignons ils m’apportaient un sentiment de joie.

Les doodles au trait

Très vite, ils ont aussi accompagné l’arrivé de chaque mois.
Ils ont pris des couleurs… et des personnages sont apparus.
Chats, oursons et lapins sont venus donner plus de vie à ces « doodles ».

Ah oui, doodle en anglais de sont des « gribouillages ».
Mois j’en ai fait des personnages un peu « kawaii »… mélange des cultures !

Doodle en couleurs

En quelques étapes clés :

  • Objets avec des yeux au traits noir et blanc
  • Personnages
  • Objets et personnages mis en situation et en couleur
  • De la couleur, du relief, du challenge !

Aujourd’hui, j’ai même créé des petites histoires avec les doodles.
Je les mets en situations ou j’essaye de créée des personnages plus « challengeant » (imaginer le capricorne avec comme modèle de base une « patate ».

Des freebies chaque mois

Tu l’auras compris, les mois et le cycle des saisons c’est la base de Gribouilli Street.
C’est donc assez naturellement que j’ai créé des freebies pour chaque mois avec un calendrier, des fiches pour prendre des notes et des illustrations biensûr !
C’était sympa, c’était fun.

Au début, c’était accessible directement sur le blog.
Et puis ensuite j’ai créé une newsletter avec une version à imprimer.
Elles avaient un joli petit succès !
Cette newsletter et ces freebies ont duré quelques années.

Mais petit à petit je me suis sentie coincée dans un cycle sans fin.
Tous les mois il me fallait créer des illustrations, monter le pdf avec les éléments, préparer la newsletter… et tout ça gratuitement…
Ca ne me gène pas que ce soit gratuit, mais j’ai commencé à sentir « un manque de reconnaissance », un décalage entre mon investissement et le retour.
Quelques personnes merveilleuses m’ont laissées de jolis messages. Mais assez peu finalement au regard toutes celles et ceux qui recevaient les calendriers.

J’ai fini par perdre « ma petite flamme » et décidé d’arrêter la newsletter.
J’avais besoin de laisser « reposer » pour mieux me renouveler.

Des chemins divers…

Gribouilli Street… un loisir ou une activité pro ?
Un complément à mon activité de com (LIEN), un portfolio ?

Je suis longtemps resté indécise, toujours tiraillée entre ma passion, mon envie et mon plaisir de dessiner et le temps que ça me prenait.
Ne devais-je pas trouver le moyen de « rémunérer » ce temps pour moins culpabiliser ?

J’ai essayé un certain nombre de choses…

  • Une boutique personnelle avec des fichiers à télécharger
  • Une première boutique Etsy
  • Puis plus rien… la newsletter et les freebies… gratuit
  • Le développement sur Instagram, facebook, Pinterest
  • Quelques illustrations pour la com, pour mon site de slow com et pour quelques clients
  • Les POD (Print On Demand redbubble et spreadshirt)
  • Podia (une boutique en ligne avec des fichiers à télécharger)
  • La création d’une « vraie offre » inclue dans mon activité de slow communication
  • Des illustrations pour un livre

 

Je me suis essayée au début à faire et vendre des produits physiques…
Mais c’est un tout autre métier (trouver les fournisseurs, gérer les stocks) et j’ai très vite compris que ce n’était pas pour moi.

J’y vais ou je n’y vais pas

Tu l’auras peut-être compris en lisant cet article, mon activité c’est la slow communication, Gribouilli Street c’est moi.
Et les deux se tournent autour depuis un moment, parfois se télescopent.

Aujourd’hui je parle ouvertement des 2. Et c’est ok.
Je ne cherche plus à les séparer.

Gribouilli Street a mis un pied dans la slow com et aujourd’hui à travers ce type d’article c’est la slow com qui s’invite chez Gribouilli Street…

Affaire à suivre 😉

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